Pourquoi les uns survivent-ils, et d’autres succombent au Covid-19 ?

Le Covid-19 fait encore la une des actualités santé en ce moment. Tout le monde a son opinion là-dessus, ce qui est sûr est qu’il va encore rester longtemps parmi nous. Le vaccin est là, ce qui nous importe est son efficacité. Ceux qui arrivent à combattre ce virus ont déjà établi un mode de vie correcte pour sécuriser sa santé. 

Une différence de classe sociale

Le bilan a été clair, les gens qui ont été frappés par ce virus sont ceux qui vivent dans des conditions défavorables, pauvre, sans-abris et mal nourri. Ces gens sont testés positifs, mais rare sont mourant, et pourtant, des gens, qui ont un niveau de vie plus élevé, sont également infectés, mais tout de suite transcrit comme cas graves. Cette analyse a été faite par « euro.who » durant la célébration de la journée mondiale de la santé.

L’inégalité au niveau de la sexualité

D’autres analyses surviennent en ce qui concerne le grand pourcentage des personnes infectées homosexuelles et lesbiennes, etc. C’est une analyse sortie suivant la statistique de l’Allemagne, de l’Espagne ou de l’Italie. Ce n’est pas lié aux pratiques sexuelles, mais aux gestes imprudents favorisent l’entrée des diverses maladies et infections qui vont encore provoquer le Covid-19.

Le souci ethnique

Contrairement aux rumeurs lancées, les personnes noires attaquées par ce virus meurent prématurées que les asiatiques par exemple. Nous n’allons pas exposer le problème des matériels qui arrivent, mais l’inconscience des gens, et surtout la peur de se rendre à l’hôpital ou le retard de la prise de décision d’aller consulter le médecin à temps. 

Les gens détenus en prison et les personnes âgées dans un Ephad

La condition de vie en prison est déjà pitoyable, ajoutée à l’existence du virus et sa manière de transmettre, c’est plutôt logique que les personnes détenues soient vulnérables. Pareillement, pour les vieux dans la maison de retraites qui doivent passer en priorité pour se faire vacciner. 

L’OMS a beaucoup de travail à faire face à cette éducation sanitaire de la population. Du repas équilibré, une éducation sur le bon comportement à adopter dans la société dès l’enfance, et l’égalité d’avoir les soins pour tout le monde.

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